Accompagnement « Bébé – Enfant – Ado » dans le Var : Apaisez les maux de vos enfants et retrouvez en sérénité

Le sommeil ! Toute une histoire qui peut vite entrainer des répercussions sur toute la famille (manque de sommeil, irritation, frustration de ne pas savoir quoi faire, d’avoir testé plein de trucs sans succès…). Il peut s’agir de difficultés à s’endormir, de réveils fréquents, de micro-siestes, d’enfant toujours en alerte qui n’arrive pas à lâcher-prise… N’attendez pas que les choses s’aggravent pour vous préoccuper du sujet !

Parmi les émotions qui viennent le plus titiller nos petits, nous trouvons les peurs (des monstres, du loup, du noir, des cauchemars, de la séparation, des insectes, etc.) et la colère (votre enfant hurle, tape, crie, se roule parterre…). Les peurs sont normales selon le stade de développement de votre enfant, mais ne doivent pas être handicapantes et parfois un petit coup de pouce peut être bénéfique. La colère est souvent le signe de quelque chose que nous n’arrivons pas à accepter (de ne pas réussir à faire quelque chose comme rassurer maman, la protéger, etc.).

Votre enfant refuse d’être gardé par papi /mamie, la nounou ou à la crèche ; il hurle dès que vous le posez, il ne veut que les bras ; vous ne pouvez pas sortir de la pièce… Nous vivons énormément de séparations, de « passages » dès le début de notre vie : passage du subtil à la matière, la naissance, le sevrage, les modes de garde, l’école, aller sur le pot, parfois des décès dans l’entourage… Tout ceci nécessite de faire des deuils de l’ancien pour accepter le nouveau.

Votre enfant ne veut plus manger ou est très sélectif ; il est sujet aux allergies ou intolérances alimentaires ; il a des coliques ; il régurgite ; il est sujet à l’énurésie (pipi au lit) ou à l’encoprésie (faire des selles dans ses vêtements ou dans des endroits inappropriés comme parterre) ou il retient ses selles, etc. Ce sont des symptômes qui peuvent avoir un sens. Une fois le message passé, le besoin identifié, vous savez comment accompagner votre enfant : les troubles n’ont plus lieu d’être et disparaissent.

Votre fille, votre fils est insupportable depuis la naissance de son petit frère / petite sœur ; votre enfant maltraite son frère / sa sœur ; les relations avec le beau-père ou la belle-mère sont tendues ; il ne veut plus aller à l’école ; il n’arrive pas à se faire des amis ; il semble renfermé, timide, a du mal à s’exprimer… Votre grand(e) est victime de harcèlement scolaire. Autant de situations qui peuvent démontrer une difficulté à trouver et à prendre sa place, à avoir confiance en soi et à s’affirmer dans le respect de l’autre.

Votre enfant peut rencontrer des troubles du développement et des apprentissages : il tarde à marcher, à aller sur le pot, etc. ; il est hypotonique ou hypertonique ; dès l’école, peuvent apparaître la difficulté à se concentrer, une hyperactivité, se sentir en décalage par rapport aux autres enfants de son âge, des difficultés à s’adapter, à s’intégrer, peut-être un diagnostic HPI (haut potentiel intellectuel) ; la difficulté à gérer la pression scolaire (qui peut être auto-infligée) ; des problèmes de peau comme l’eczéma, etc.

Les enfants sont des éponges, ils ressentent tout ce qui se passe en nous. Et parfois, leur symptôme n’est que la réaction de l’enfant à une blessure qu’il ressent chez son parent. Il sent que vous êtes triste, donc il croit que son rôle est d’être le soleil de votre vie qui va effacer vos larmes (parfois intérieures), mais comme c’est irréaliste, il est frustré, en colère et tape, crie, hurle. C’est pourquoi parfois le plus gros du travail ne se fera pas avec l’enfant, mais avec un parent ou les deux.

Il est possible que l’accompagnement avec l’enfant mette en lumière le besoin d’initier ou poursuivre un travail de développement personnel, pour vous parent, pour prendre soin de vous et par répercussion avoir un impact positif sur votre enfant. Comme disait Françoise Dolto, « petits, les enfants sont comme les psychothérapeutes des parents ». N’y voyez pas une quelconque accusation ou culpabilité, voyez une invitation à libérer vos propres souffrances pour aller mieux. Vous apaiser c’est permettre à votre enfant de l’être aussi. C'est un beau cadeau pour vous deux.

Quand nos enfants ne vont pas bien, nous n’allons pas bien, c’est normal. Et si on rajoute en plus le stress du quotidien, le boulot, peut-être des parents vieillissants dont il faut s’occuper, etc., la coupe peut vite déborder, avec des répercussions possibles sur la famille. N’attendez pas le burn-out pour réagir et réservez un accompagnement « adulte » pour vous aider.

Je vous invite à lire mon article sur « Mes enfants d’abord » sur l’importance de penser à soi en premier pour mieux s'occuper des autres ensuite.