Magali FONTAINE
Kinésiologie à La Farlède

Magali FONTAINE, Kinésiologue - Energéticienne à La Farlède

Non-dits : Quand ton enfant se crée sa propre réalité


Nos enfants captent tout, comme s’ils avaient de grands yeux, de grandes oreilles et des petites antennes ultra-sensibles (tu visualises… ah ah !)

Ils absorbent les émotions, les sentiments, le langage corporel au-delà des mots, les intonations, les vibrations, les mots dits en pensant qu’ils sont trop petits pour comprendre, les non-dits en pensant les protéger…

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Mais que se passe-t-il quand tu arrives dans une pièce et que les personnes s’arrêtent de parler ? Ou semblent gênées mais font comme si de rien n’était ? Ou continuent leur conversion comme si tu n’étais pas là et que tu ne comprends rien parce que tu ne l’as pas prise au début ou parce que le sujet t’est inconnu ? Premièrement c’est dérangeant, tu as l’impression de ne pas être à ta place ; et deuxièmement, tu vas essayer de comprendre ce qui se cache derrière les faux-semblants ou les phrases que tu ne comprends pas.

Pour ton enfant, c’est pareil. Sauf qu’il a encore moins de possibilités que toi, car son cerveau (en tout cas jusqu’à 6-7 ans) manque encore de maturité, il lui manque des ressources, des compétences, qu’il est en train d’acquérir tout doucement à son rythme.

Donc quand on ne leur explique pas quelque chose qu’ils ressentent de toute façon (tu sais avec leurs petites antennes), ils inventent leurs propres histoires pas toujours justes. Conséquences : la création de croyances erronées et le développement de maux, de comportements difficiles à gérer (troubles du sommeil, refus de la séparation, crises, refus de l’autorité, repli sur soi…).

Pourquoi est-ce important de raconter à ton enfant son Histoire ?

J’écris Histoire avec un grand H, car elle englobe la sienne, mais aussi la tienne et celle de son père. Mais on y revient après. Commençons d’abord par comprendre ce qu’il se passe pour ton enfant.

Maman = Amour, Papa = Sécurité

André Charbonnier, dans son livre Festen 2.0, parle de cette croyance collective "Maman = Amour" et "Papa = Sécurité". C’est ancré dans notre inconscient. Alors, si la réalité est différente, si les événements démontrent que cette équation n’est pas vraie, c’est inconcevable pour l’enfant. Il va donc chercher à maintenir cette vision idéalisée à tout prix et pour cela, il va donner des excuses à ses parents et se créer des mensonges pour justifier cette dissonance.

Par exemple, si maman n’est pas toujours douce et aimante, ou si papa n’est pas toujours rassurant, l’enfant va s’imaginer que c’est de sa faute. Plutôt que de remettre en question cette équation, il va se dire : "Si maman crie, c’est que je le mérite, je ne suis pas aimable" ou "Si papa ne me protège pas, c’est que je n'en vaux pas la peine".

Le silence est d’or ? Pas toujours !

Souvent, on ne dit rien pour protéger nos enfants. On pense qu’ils ne pourront pas comprendre, qu’ils sont trop jeunes, que ça va les perturber… Mais parfois, c’est juste qu’on ne sait pas ou qu’on ne pense pas que c’est important ou on ne trouve pas le bon moment ; certaines fois, on sait qu’on devra le dire, mais on ne sait pas comment le dire, comment notre enfant va réagir et on repousse.

Mais quand on ne dit rien, nos enfants remplissent les vides avec leurs propres histoires. Tu te souviens de Barney Stinson dans How I Met Your Mother ? (tu as la ref ?) Il croyait que son père était un célèbre présentateur télé parce que sa mère ne lui avait jamais dit qui était réellement son père. Cet exemple, bien qu’issu de la fiction, montre bien comment un enfant peut se créer des croyances totalement à côté de la plaque quand il manque d’information.

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Si tu te sépares du papa et que tu dis à ton enfant « Ce sont des histoires de grands, je t'expliquerai plus tard » (avec l'espoir qu'il ne te repose jamais la question, non ?). Que va-t-il se passer dans la tête de ton petit bonhomme vert à antennes ? « Elle ne veut pas me dire la vérité, je n’ai pas assez de valeur à ses yeux » (donc tristesse, repli sur soi, abattement ou au contraire, colère, frustration, non acceptation) ; « Ca doit être un truc super grave pour qu’elle ne veuille pas me le dire » (stress, angoisse) ; « Maman est en colère contre papa, il a dû faire quelque chose de mal » (défiance vis-à-vis de papa, ne veut pas aller voir papa ou au contraire, s’il ressent que tu es la plus forte des deux, il va se mettre en empathie vis-à-vis de son père et t’en faire baver, parce qu’il faut bien extérioriser quand même).

Les missions imaginaires des enfants

Parfois, les enfants prennent sur eux des rôles qui ne leur reviennent pas. Il arrive parfois que ce soit les parents qui attribuent ces rôles, consciemment ou inconsciemment, c’est ce que l’on appelle des « mandats de conception ». Par exemple, « Je veux un enfant pour me sentir moins seule, pour me sentir utile ». Mais nous n’en parlerons pas ici. Je ferais un article prochainement sur le sujet.

Donc si ta petite fille ressent que tu te sens triste, elle pourrait s’auto-proclamer « sauveuse de maman » et décider qu’elle doit guérir ta tristesse. Elle pourrait se comporter en petit « boucan » ou être toujours collée à toi ou exprimer beaucoup de colère parce qu’elle n’arrive pas à guérir ta tristesse. Et oui, car ce n’est pas son rôle. Ce sont les adultes qui doivent protéger les enfants, pas l’inverse.

Ok, mais on parle de quoi ?

Concrètement, ça veut dire quoi parler à son enfant ? Faut-il tout dire ? Qu’est-ce qui est important ? Qu’est-ce qui ne l’est pas ?

On parle de tout ce que l’enfant peut ou a pu ressentir de ce que toi et son papa avez pu vivre, comme « par procuration » et de ce que lui a pu vivre, depuis le début de sa vie. Tu ne pourras peut-être pas tout dire à 100% parce qu’on ne se souvient pas de tout et que parfois une petite chose passée inaperçue pour toi aura beaucoup d’importance pour ton enfant. Mais tout ce que tu pourras lui expliquer sera toujours ça de gagné. Voici les périodes à prendre en compte et quelques questions pour te montrer les points qui ont généralement un impact.

Ses ressentis en lien avec son propre vécu ou le tien et celui du papa

Il est essentiel ici de considérer les événements vécus par toi, le papa et bébé, mais aussi ce que chacun a ressenti ou pu ressentir.

Sa conception

Le point 0 pour ton enfant, c’est sa conception. C’est le point de départ de l’enfant qu’il va devenir. Son âme a un vécu bien plus grand, mais ici on va considérer le moment où le bébé va être conçu pour permettre à l’âme de s’incarner de devenir Théo, Lilou, Léa ou Paul.

Que dire au sujet de sa conception ? Et bien déjà, dans quel contexte a-t-il été conçu ? Etait-ce une grossesse désirée ? Une surprise ? Comment étaient les relations avec le papa ? Vivais-tu du stress (au travail, conflits familiaux, problèmes de santé…) ? Est-ce que la conception a été rapide ou lente ? Est-ce qu’elle a été naturelle ou pas le biais d’une PMA ?

Sa vie intra-utérine

Comment s’est passé la grossesse ? As-tu été malade ? Comment l’annonce de la grossesse a-t-elle été prise ? Des peurs sont-elles montées ? Une IVG a-t-elle été envisagée ? As-tu vécu des événements marquants, traumatisants ? Une séparation ? Un décès ? Comment as-tu vécu les échographies ? Les examens médicaux ? As-tu vécu la perte d’un jumeau ? (peut-être n’en as-tu pas conscience, des saignements en début de grossesse peuvent être un signe). As-tu eu peur de le perdre ? Qu’il ait un handicap ? Comment a été vécu l’annonce du sexe ? Y a-t-il eu des complications pendant la grossesse ?

Sa naissance

Comment s’est passé la naissance ? A-t-elle été déclenchée naturellement (donc par lui) ou médicalement ? A-t-elle été prématurée ou post-terme ? Par voie basse ou césarienne ? Programmée ou d’urgence ? Avec des instruments ? Longue ou rapide ? Montrait-il des signes de détresse fœtale ? Y a-t-il eu des complications (pour lui ou pour toi) ?

L’après-naissance jusqu’à aujourd’hui

Comment s’est passé le séjour à la maternité ? Bébé a-t-il été allaité ou a-t-il eu le biberon ? A-t-il été séparé de toi ? Comment s’est passé le retour à la maison ? As-tu eu peur de la mort subite du nourrisson ? A-t-il eu des reflux ? des coliques ? y a-t-il eu des séparations (gardé en crèche, grands-parents…) ? As-tu vécu un baby blues ? Tout ce qui a pu se passer pendant les 9 mois qui ont suivi sa naissance est important.

Comment se sont passées ses différentes acquisitions (se retourner, ramper, marcher, tenir une cuillère…) ? A-t-il eu des problèmes de santé particuliers ?

Pendant cette période, des événements traumatisants / marquants / changements ont-ils été vécus, qui ne sont pas forcément lié à l’enfant lui-même ? Le retour au travail ? Conflit avec le conjoint ? Décès ? Déménagement ?

Revenons un peu en arrière

J’ai dit que pour l’enfant le point 0 était sa conception. Mais il est également important de remonter jusqu’à 9 mois avant la conception de ton enfant. En effet, ton enfant va également s’imprégner des énergies de cette période-là. On dit que l’âme du bébé tourne déjà autour de la maman plusieurs mois avant sa conception. De même, tout ce que nous vivons est engrammé en nous (va voir l’article Kinésiologie ou soin énergétique, j’y parle de la mémoire du corps), alors pourquoi notre enfant lorsqu’il est conçu et est en gestation en nous ne pourrait-il pas avoir accès à toutes ces données (avec ses petites antennes, hi hi !) ?

Tu as vécu une fausse-couche ? Un décès dans la famille, l’entourage ? Un parcours PMA ? Des difficultés avec le papa ? Du stress au travail ? Un changement de vie ? Un déménagement ? Tout événement marquant peut être important.

Ne tombons pas dans l’extrême quand même

Tout ceci n’a pas vocation à te stresser, te mettre la pression ou te culpabiliser ! Au contraire. Il s’agit d’être consciente de tout ce qui se joue quand on met en route le « projet bébé », mais aussi consciente que tout ceci est un process naturel. Il est fait, justement (en tout cas c’est ma croyance) pour que l’enfant définisse son bagage de départ, avec quoi il va mener sa vie et réveiller ce qu’il a besoin de travailler, guérir, comprendre. Et tout cela se fait en partenariat avec toi et son papa.

Donc oui, cela peut être inconfortable, mais c’est l’inconfort qui nous pousse à trouver des solutions, à changer. S’il n’y avait pas d’inconfort, nous n’aurions aucun désir de changer, d’avancer, d’évoluer, de guérir.

Concrètement, ne te tape pas dessus, si jusque-là, tu n’as pas parlé à ton enfant de ce qu'il s'est passé. Il n’est jamais trop tard. Et peut-être qu’en lisant cet article, tu te diras : « ah mais peut-être que s’il se réveille toutes les nuits, c’est parce qu’on a été séparés à la naissance et qu’il a peur ». Et tu te diras que c’est le moment de lui parler de sa naissance.

Comment parler à ton enfant ?

Alors justement, prête à lui parler d’un bout de son Histoire (ou toute son Histoire) qui, je le rappelle, inclus la tienne et celle de son papa ? Oui ? ok, mais pas n’importe comment. Voici quelques conseils et pour illustrer ces propos, je t'offre cet ebook rassemblant des exemples concrets de façons de parler à ton enfant.

Parler avec le cœur, pas avec la tête

Si tu parles avec ton mental, tu vas stresser, tu vas chercher à contrôler, tu vas vouloir dire exactement les mots que tu auras préparé… bref, tu ne seras pas authentique et tu ne vas pas connecter avec ton enfant.

Il est essentiel de parler avec le cœur, à un moment où tu es au calme avec ton enfant.

Concrètement, ça veut dire que tu es centrée en toi (ton attention est portée à l’intérieur de toi, ça permet de faire taire le mental), dans ton cœur par exemple. Tu le sentiras car tu auras l’impression d’être plus posée et présente. Tu peux imaginer un lien entre ton cœur et celui de ton enfant, si ça t’aide, par exemple un joli lien de lumière, un fil doré… Ainsi tu vas t’adresser à la partie « sage » en lui, celle qui comprend tout. Aie cette certitude que ton enfant va comprendre.

Utilise des mots simples, mais justes, adaptés à son âge

Adaptés à son âge ne veut pas dire édulcorés ou trop imagés. Certains sujets sont parfois tabou comme la mort : un animal de compagnie décède, un grand-parent ou une interruption de grossesse par exemple. Mon avis est qu’il est préférable d’utiliser le mot « mort », car c’est le mot juste. Si c’est compliqué pour toi, si c’est tabou, je t’invite à travailler ce sujet d’abord, à travailler tes croyances, libérer la charge émotionnelle afin que, le jour où tu seras prête à parler, ton enfant ne ressente pas cette dissonance.

Et si tu t’inquiètes que ton enfant ait peur de mourir ou que tu meures, j’aime beaucoup cette phrase de Françoise Dolto « Sois tranquille, tu ne mourras que quand tu auras fini de vivre ». 

Les émotions appartiennent aux parents

Il est important de rappeler à l’enfant que, même s’il ressent des émotions chez son parent, celles-ci ne lui appartiennent pas et il n’en est pas responsable. Ce sont les parents qui sont responsables de leurs émotions et ainsi, c’est à eux d’en prendre soin. Ce n’est pas le rôle de l’enfant. Décharge-le de ce poids.

Il n’est pas la cause des émotions de ses parents

Un enfant peut facilement penser qu’il est responsable de la colère ou de la tristesse de ses parents. Non. Et tu dois également bien faire la distinction entre le déclencheur et la cause de l’émotion.

Le déclencheur, c’est l’événement extérieur « je suis tombée enceinte par accident » ; la cause c’est la façon dont nous interprétons l’événement et là où nous plaçons notre propre responsabilité « Je suis en colère contre moi, c’est de ma responsabilité ». Le positionnement est juste. Mais si ton enfant pense « Maman est en colère à cause de moi, elle ne voulait pas de moi ». Non, le positionnement n’est pas correct. Tu n’es pas en colère contre ton enfant, tu es en colère parce que ce n’était pas prévu, tu n’as pas été vigilante, etc. Et si jamais tu ressens de la colère contre ton enfant, c'est que TON positionnement des responsabilités n'est pas juste et je t'invite à explorer ça en toi.

Ce n’est pas parce que tu as vécu quelque chose, qu’il vivra la même chose plus tard

Il s’agit ici de couper tout de suite l’herbe sous le pied de nouvelles croyances. Il arrive en effet que nous mettions en place nous-même des croyances auto-réalisatrices ou auto-prophétiques. « Maman a perdu un bébé, donc moi aussi je perdrais un bébé ». Non, ton enfant peut vivre une histoire totalement différente de la tienne.

Evite (si possible) d’utiliser les négations

Dans l’idéal, utilise des phrases affirmatives. Le cerveau a du mal à comprendre les « ne… pas ». Limite-les le plus possible.

Fais rentrer son histoire dans le quotidien

Dans l’idéal, votre histoire (papa, toi et bébé) ne doit pas être tabou. Plus elle fera naturellement partie de votre quotidien et plus cela sera fluide.

J’aime l’idée par exemple de créer un arbre généalogique, tous ensemble, où apparaissent tous les membres de la famille proche, y compris les bébés qui ne sont pas nés. C’est un excellent moyen de lancer la conversation et faire en sorte que le sujet soit naturel.

Ou allumer une bougie chaque année à la date d’une fausse-couche, juste pour avoir une pensée bienveillante pour le petit ange parti et ne pas faire comme si ce n'était pas important.

Regarde un album photo avec ton enfant et profite pour lui parler de ce que tu as vécu avant sa naissance.

Utilise des objets, des peluches, poupées

Tu peux t’aider de jouets pour illustrer tes propos. Les enfants comprennent mieux en expérimentant, en jouant, en manipulant. Tu peux te représenter, lui et son papa et ainsi montrer les émotions, les liens, etc.

Rassure ton enfant, mais sois honnête

Suivant le sujet, ton enfant aura besoin d’être rassuré. « J’étais inquiète pour toi, mais aujourd’hui, tu vas bien, tu es en bonne santé, tu peux être rassuré et dormir tranquille ». Si tu lui dis, il est nécessaire que tu te sens profondément rassurée. Dans le cas contraire, il sentira que "ça sonne faux" et ne sera pas rassuré. Auquel cas, travaille cette peur d'abord.

Si tu voulais une fille et que tu as un garçon et que cette déception est toujours présente, sois honnête et dis le. Il ne sert à rien de dire « je suis très heureuse que tu sois un garçon », si tu ne le penses pas. Ton enfant le sentirait et cela aurait l’effet inverse. Mais par contre, fais bien la distinction entre être déçue de ne pas avoir de fille et être déçue par ton garçon d’être qui il est. Tu peux être heureuse d’avoir ton enfant, mais regretter de ne pas avoir de fille. Les deux ne sont pas incompatibles. Mais ce n’est pas la faute de ton enfant.

Rappelle le rôle d’un enfant

Quel est le rôle d’un enfant ? Juste jouer, apprendre, grandir, manger, dormir, développer ses connaissances, ses compétences, rigoler, expérimenter… Bref, être juste un enfant.

Une lecture instructive sur comment parler à son enfant « Le grand livre de la kinésiologie spécial enfants » de Audrey Mée.

Le mot de la fin...

Parler à ton enfant de la réalité de la vie familiale et émotionnelle, c’est un vrai cadeau. Ça l’aide à comprendre son environnement, l'histoire de chacun et à éviter de se créer des croyances erronées. En étant transparent et honnête, tu renforces le lien avec ton enfant, tu lui donnes confiance en lui et tu lui montres qu’il est en sécurité. Connaitre son histoire est rassurant pour son enfant, cela évite les vides, les peurs, les angoisses. Et rappelle-toi : ce sont les parents qui protègent les enfants, et pas l’inverse.


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